Le mois dernier, Google a offert des remboursements aux utilisateurs qui ont acheté un application antivirus faux de Google Play, mais l’arnaque semble plus apparaître. Des chercheurs de sécurité ont récemment identifié des applications similaires dans les espaces applications Android et Windows Phone, tous deux.
Des analystes malware de Kaspersky Lab ont trouvé un application faux qui s’appelle Kaspersky Mobile dans l’espace Windows Phone, ce qui est étrange car des cyber-criminelles ont tendance à prendre Google Play pour cible, et car Kaspersky ne fait même pas un produit antivirus pour Windows Phone.
L’application faux, qui se vendait pour 149 rubles (ou à peu près $4), a utilisé le logo de Kaspersky et des autres éléments de brande et a fait même semblant d’analyser des fichiers quand démarré, a dit Roman Unuchek, analyste malware supérieur à Kaspersky Lab dans un post de blog jeudi.
Kaspersky Lab n’était pas le seul marque maltraité par les peuples derrières cette arnaque. Le même compte développeur a crée des applications faux avec les noms et les logos de programmes populaires d’autres, y compris Avira Antivirus, Mozilla Firefox, Google Chrome, Opera Mobile, Internet Explorer, et Safari.
Un des applications Windows Phone faux du développeur a utilisé le même nom qu’un application antivirus faux se trouvé dans Google Play en avril — Virus Shield.
En dépit de coûter $3,99 et de ne rien faire pour protéger des appareils, l’application android Virus Shield s’est téléchargé plus de 10.000 fois et a apparu dans plusieurs listes « les plus payés » avant d’être identifié comme contrefaçon. Google a supprimé l’application et a offert des remboursements aux utilisateurs affectés, et aussi un crédit de $5 pour l’espace application.
Les chercheurs ont aussi identifié un application faux marqué comme Kaspersky dans Google Play avec le nom Kaspersky Anti-Virus 2014. Le sommaire de l’application a été copié de la page officielle de Google Play pour Kaspersky Internet Security pour Android, un des produits vrais de l’entreprise.
Les créateurs de l’application n’ont pas pris la peine d’ajouter une simulation pour analyser à l’application, a dit Unuchek.
« C’est très possible que plus et plus de ces applications faux vont commencer à apparaître » a dit-il. « On peut être sûr d’un telle chose — les façons mises en places par les espaces officielles sont évidemment incapable de combattre des arnaques comme celle-ci. »
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